Un espace contemporain
Aux abords du village du Fel et de son vignoble en terrasses, l’oasis culturel du Don du fel vous offre deux panoramas éblouissants, un sur le paysage de la vallée du Lot et l’autre sur le meilleur de la production céramique contemporaine.
Installée, de façon littéralement stupéfiante, sur les hauteurs du Fel à 4.5 km de Montsalvy, la Poterie du Don prend de l’altitude ! Le site est à vous couper le souffle, et l’extraordinaire architecture avant-gardiste vaut, sans doute, que le Don du Fel soit devenue une vraie icône culturelle. Mais l’innovation qu’on voit dehors, se sent aussi à l’intérieur où le visiteur est confronté à une étonnante sélection de tout ce qui se fait de mieux en matière de céramique contemporaine à l’échelle européenne !
Un espace contemporain
Aux abords du village du Fel et de son vignoble en terrasses, l’oasis culturel du Don du fel vous offre deux panoramas éblouissants, un sur le paysage de la vallée du Lot et l’autre sur le meilleur de la production céramique contemporaine.
Installée, de façon littéralement stupéfiante, sur les hauteurs du Fel à 4.5 km de Montsalvy, la Poterie du Don prend de l’altitude ! Le site est à vous couper le souffle, et l’extraordinaire architecture avant-gardiste vaut, sans doute, que le Don du Fel soit devenue une vraie icône culturelle. Mais l’innovation qu’on voit dehors, se sent aussi à l’intérieur où le visiteur est confronté à une étonnante sélection de tout ce qui se fait de mieux en matière de céramique contemporaine à l’échelle européenne !
Nigel Atkins – A l’origine
Nigel était designer avant de fonder avec Suzy, la Poterie du Don, où il s’occupe de la gestion, de la communication, du développement et de l’ensemble des aspects techniques du procédé fortement aléatoire du grès au sel.
Jacques Lacombe – l’architecte
Cet idéal, la feuille blanche
« Je dois être tout à la fois noir et blanc, avoir une envie énorme de trouver l’expression de la pureté, le désir du rien, de l’immatériel, de la beauté et de l’harmonie absolue, mais aussi le doute constant, nécessaire, utile, celui de l’homme, qui n’est qu’un homme en même temps constructeur et destructeur.
Chercher, espérer, explorer, croire que derrière la feuille blanche se trouve l’idéal ! Mais tout d’un coup le trait salit la feuille, fixe l’imagination dans cette réalité physique nécessaire. L’esquisse a pris forme. Et je regrette la feuille blanche. Alors je me dépêche…
La réalité se construit dans le secret espoir de pouvoir à nouveau reprendre la feuille blanche. »
Jacques Lacombe